Ne me laisse pas dans le silence! Vois comme le vulnérable de ma chair s’appuie contre ta porte d’indifférence! Ouvre-moi, je t’en supplie! Entrebâille un peu ton âme pour qu’enfin ma souffrance s’arrête!
Embryonnaire sur le damier de tes fuseaux horaires, je frémi, je frissonne, condamné au vortex de tes mouvements quantiques. Paralysé par le paradigme au pas duquel tu m’as laissé, je suis le ver dans la quête du battement d’aile de ton papillon.
Mon être tout entier qui, hier encore se baignait de ta lumière, aujourd’hui se ficelle d’inquiétudes sous le lierre de tes ombres. Pour t’entendre, je colle une oreille sourde à ta noirceur silencieuse, mais seul le néant vibre, ici, de tes échos de marbre.
Je n’ai pourtant devant toi plus aucun voile de pudeur, plus aucun vêtement d’artificiel. Je suis purement, humblement le pantin de tes gestes retenus. Je suis le coma de nos poussées de fièvre allégoriques.
J’ai si froid! Combien de temps me laisseras-tu encore te supplier de me couvrir un peu de toi afin que mes tremblements, momentanément, s’interrompent ? J’ai peur. J’ai mal. Je me meurs à l’idée que ta main ne vienne jamais me relever de ce moment ou j’ai trébuché dans les cordes de l’innocence.
Reviens-moi ! Reviens.
Embryonnaire sur le damier de tes fuseaux horaires, je frémi, je frissonne, condamné au vortex de tes mouvements quantiques. Paralysé par le paradigme au pas duquel tu m’as laissé, je suis le ver dans la quête du battement d’aile de ton papillon.
Mon être tout entier qui, hier encore se baignait de ta lumière, aujourd’hui se ficelle d’inquiétudes sous le lierre de tes ombres. Pour t’entendre, je colle une oreille sourde à ta noirceur silencieuse, mais seul le néant vibre, ici, de tes échos de marbre.
Je n’ai pourtant devant toi plus aucun voile de pudeur, plus aucun vêtement d’artificiel. Je suis purement, humblement le pantin de tes gestes retenus. Je suis le coma de nos poussées de fièvre allégoriques.
J’ai si froid! Combien de temps me laisseras-tu encore te supplier de me couvrir un peu de toi afin que mes tremblements, momentanément, s’interrompent ? J’ai peur. J’ai mal. Je me meurs à l’idée que ta main ne vienne jamais me relever de ce moment ou j’ai trébuché dans les cordes de l’innocence.
Reviens-moi ! Reviens.