Elle: J’ai l’impression de m’accrocher à tes rêves comme à des bouées de sauvetage.
Lui : Peut-être oublies-tu de rêver pour toi-même? Regarde au fond de toi, ce que tu aimes, ce qui gonfle ta voile d’espoir.
Elle : Mes aspirations se tissent à même les minces filets de bonheur que je vis à travers toi, avec toi.
Lui : Ne t’encres pas à mon port. Tu sais que tu auras du chagrin.
Elle : Je sais mais…
Lui : La mélancolie de tes vagues m’inquiète un peu. Je ne voudrais pas être responsable de tes naufrages. Ton ile n’est pas déserte car tu en es le plus unique des trésors.
Elle : À quoi sert une richesse si elle demeure seule et triste au milieu de l’océan. L’étincelle d’un diamant naît dans un regard, dans une larme d’admiration. Sans toi, je ne suis qu’un grain de sable parmi les autres.
Lui : Tu as vécu avant moi, tu vivras après moi…Cesse donc un peu d’écouter l’écho nostalgique de la mer dans un coquillage vide.
Elle : Je me heurte sans cesse à tes récifs. Tes sentiments pour moi seront-ils à jamais tels des embruns se brisant inlassablement sur mes côtes?
Lui : Je suis hélas prisonnier de mes propres marées. Éloigne-toi avant que mon incertitude se transforme en tempête !
Elle : J’attendrai avec sérénité le moment de mon naufrage alors.
Lui : C’est si triste un naufrage.
Elle: Ce n'est pas si triste si enfin je m'échoue près de toi!!
Lui : Peut-être oublies-tu de rêver pour toi-même? Regarde au fond de toi, ce que tu aimes, ce qui gonfle ta voile d’espoir.
Elle : Mes aspirations se tissent à même les minces filets de bonheur que je vis à travers toi, avec toi.
Lui : Ne t’encres pas à mon port. Tu sais que tu auras du chagrin.
Elle : Je sais mais…
Lui : La mélancolie de tes vagues m’inquiète un peu. Je ne voudrais pas être responsable de tes naufrages. Ton ile n’est pas déserte car tu en es le plus unique des trésors.
Elle : À quoi sert une richesse si elle demeure seule et triste au milieu de l’océan. L’étincelle d’un diamant naît dans un regard, dans une larme d’admiration. Sans toi, je ne suis qu’un grain de sable parmi les autres.
Lui : Tu as vécu avant moi, tu vivras après moi…Cesse donc un peu d’écouter l’écho nostalgique de la mer dans un coquillage vide.
Elle : Je me heurte sans cesse à tes récifs. Tes sentiments pour moi seront-ils à jamais tels des embruns se brisant inlassablement sur mes côtes?
Lui : Je suis hélas prisonnier de mes propres marées. Éloigne-toi avant que mon incertitude se transforme en tempête !
Elle : J’attendrai avec sérénité le moment de mon naufrage alors.
Lui : C’est si triste un naufrage.
Elle: Ce n'est pas si triste si enfin je m'échoue près de toi!!